FAQ
Le projet ZIP, territoire d’avenir vous intéresse ? Retrouverez ici les réponses aux questions les plus fréquentes. Si vous ne trouvez pas la réponse appropriée, vous pouvez poser votre question ou nous faire part de vos commentaires sur le projet, via le formulaire.
Non. Le projet est un projet privé, à l’exception des aides spécifiques accordées par l’ADEME dans le cadre du Programme d’Investissements d’Avenir sur le laboratoire de recherche et développement NEUTRAVAL. L’ensemble de l’investissement de 170 millions d’euros sera porté par le GROUPE BECK et ses partenaires.
Les entreprises qui s’installeront au sein de Metalpark vont recruter dans de nombreux métiers liés aux activités de logistique. Des postes seront également ouverts sur les activités de services des aménagement connexes à la plateforme. A ce jour, ni la typologie précise des fonctions, ni le nombre de postes correspondant n’est défini. Nous diffuserons toutes les informations utiles dès que les recrutements seront lancés.
Le projet s’étale sur plusieurs années et les mises en service seront progressives. Le projet dans son ensemble sera finalisé à l’horizon 2025. Les différents chantiers seront menés en parallèle mais de façon individualisée. Menées sur un site d’un seul tenant, les phases de chantier auront peu d’incidences sur l’environnement proche.
Dans une économie dont le fonctionnement repose sur l’échange des biens, des services et des données, la logistique représente un maillon essentiel du circuit marchand. La logistique représente plus de 10 % du PIB national, plus d’1,8 millions d’emplois publics et privés. Ce secteur stratégique (l’un des 3 secteurs les plus générateurs d’emplois) est porté nationalement par le plan France Logistique 2025, qui vise à faire de la France une plateforme logistique de référence au niveau mondial.
Avec sa très grande capacité (surface de stockage de 120 000 m²), la base logistique de Talange – Hagondange vient compléter une offre régionale insuffisante – seuls 16 % des entrepôts et plateformes logistiques font plus de 30 000 m² – et contribue à l’offre nationale. En effet, en 2015, la France comptait moins de 4500 établissements de plus de 5 000 m² dont seulement 628 de plus de 30 000 m², principalement répartis sur les grandes aires urbaines, autour de Paris, Lille et Lyon.
Une étude de trafic réalisée sur le site conclue à une capacité importante de réserves de flux. Même en tenant compte de l’évolution de la Zone Industrielle du Port et du trafic généré par l’exploitation des deux bâtiments de logistique, le giratoire garde des réserves de capacité supérieures à 40%. Le flux de circulation généré par la base logistique est donc largement absorbable par celui-ci. Le centre d’Hagondange ne sera pas plus impacté par la circulation des Poids lourds qu’aujourd’hui, puisque les accès à l’A31 se font via la RD112F avec raccordement sur la A4.
Les niveaux de danger et de risques d’incendie et d’explosion liés au biogaz sont du même ordre, voire moins élevés, que ceux liés au stockage du gaz naturel, du pétrole ou du gaz de ville. Une unité de méthanisation n’est pas plus dangereuse qu’une station essence. Toutes les mesures seront intégrées à la conception technique du projet afin de ramener le niveau de risque au niveau zéro.
Lors de la méthanisation, la décomposition des déchets est réalisée dans un environnement hermétique, sans contact avec l’air ambiant. Les dégagements gazeux sont traités par passage dans des filtres naturels constitués d’écorces de bois. A la différence du compostage qui se fait à l’air libre, la méthanisation ne génère donc pas d’odeurs.
Les CSR sont fabriqués à partir des refus de tri des déchets solides. Ils proviennent des déchèteries municipales, des déchets industriels banals, commerciaux et/ou issus des encombrants. L’installation de l’unité de production de CSR s’inscrit dans la continuité du Centre de Tri de Déchets du B.T.P. et de D.I.B., déjà existant et exploité par EGlog. Par rapport au fonctionnement actuel du centre de tri, il n’y aura donc pas de quantités de déchets supplémentaires entrant sur le site.
NON. Il s’agit bien d’un laboratoire de recherche et d’expérimentation. Ce laboratoire a une durée de vie limitée à la durée des recherches. Le laboratoire ne traite que de petites quantités d’amiante à la fois dans le but de mettre au point le procédé. Les échantillons qui ne contiennent en moyenne que 5 % d’amiante sont réceptionnés dans des fûts étanches, les recherches menées dans un environnement hermétique. La quantité totale de déchets amiantés prévue pour ces recherches est de 25 tonnes maximum.
NON. Les terrains ont été entièrement dépollués. La pollution résiduelle présente en sous-sol sur le site a été entièrement confinée et les sous-sols sont sécurisés.
La Colline paysagère sera un espace ouvert, accessible à tous et gratuit, avec un parcours pédestre, une zone de pique-nique, une aire de jeux, des installations ludiques… Plus qu’un parc, il s’agit d’en faire à la fois un lieu de loisirs, un espace pédagogique témoin de l’histoire locale et un espace intégré dans son environnement et la vie des habitants.
La composition paysagère est étudiée pour préserver la tranquillité des riverains, et les plantations seront organisées de façon à masquer les vues directes sur les habitations. La colline ne sera pas accessible aux véhicules motorisés.
- La propriété foncière Zone Industrielle du Port n’inclut pas l’emprise située à l’entrée, sur laquelle sont implantés les massifs de fondations des hauts fourneaux, dont nous ne sommes donc pas propriétaires.
- A notre connaissance, les travaux de démolition des massifs de fondation s’inscrivent dans le plan d’aménagement et d’urbanisation global, élaboré en coordination avec les collectivités. Il a comme objectif général de valoriser les emprises issues des friches de l’aciérie, de dépolluer et de sécuriser les ouvrages.
- Les exploitations du Groupe BECK fonctionneront uniquement en semaine et aux horaires de travail classiques, à l’exception de l’activité de méthanisation qui nécessite une présence 7 jours sur 7, de 5h à 20h.
- Il n’est pas exclu que la plateforme logistique ait une amplitude horaire plus importante pour les besoins de son activité, par exemple la nuit ou le weekend. Il est cependant trop tôt pour répondre à cette question, les futurs occupants de cette plateforme n’ayant pas encore été identifiés.
- L’activité de la plateforme logistique sera contenue à l’intérieur des bâtiments, aussi seuls les éventuels mouvements de personnels et le trafic routier que cela induira seront susceptibles de générer des nuisances sonores.
- A ce stade d’avancement du projet, il n’est pas prévu de rejet ou de pollution particulière : toutes les dispositions seront prises pour s’assurer que le site ne génèrera pas de pollution.